Tricouyapathe doré

Publié le par bino

Tricouyapathe doré
(testiculis-tripotarum-orificia)

Découvert en 1985 sur l’île de la  Guadeloupe après une éruption de la Soufrière par le professeur Jean Némi des Bonnes, éminent pénétrologue français.
A l’état sauvage le tricouyapathe doré vit exclusivement a l’entrée des volcans en activité .
C’est un animal très dangereux qui s’attaque surtout aux femmes mais peut ,de temps en temps ,déraper et s’attaquer aux  hommes .
Sa particularité est d’avoir trois testicules un gros et deux petits ,le plus gros lui sert de cerveau et contient entre autre ses organes olfactifs et auditifs qui sont extrêmement développés puisqu’il est aveugle.
Sa structure métallique lui permet de résister a de très hautes températures et ainsi de lui éviter des échauffements pendant sa période de reproduction .
Le tricouyapathe doré est très facile a apprivoiser si son propriétaire peut lui procurer sa nourriture préférée (le sexe) il se met alors a crier « ho oui! ho oui ! ».Attention toutefois a ne pas trop le laisser jeûner ,certains propriétaires de tricouyapathe ont eu des surprises.

Proverbe « mieux vaut s’enfoncer dans la pénombre qu’un tricouyapathe doré »

Publié dans chezbino

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H
On trouve aussi certaines similitudes avec le Magnusmandrinotop qui, vous n'êtes pas sans le savoir, faisait partie des grands Erectiles trop tôt disparus. On trouve encore des représentations de cet animal dans les grottes de Aïeparici Safémal, non loin du col de OhouiOhoui Mémoitou.
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L
c'est amusant, sous cet angle, on dirait un hakouyrabatu... animal cousin du houla-houla... mais avec des pattes plus grandes qui le laissent coi, quoi...
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